Prochainement : restauration de l’embarcadère à Auvers-sur-Oise

Le Syndicat Mixte du Bassin de l’Oise prévoit un nouveau projet de restauration de l’embarcadère à Auvers-sur-Oise, fermé depuis février 2017.

Vous trouverez ci-joint la photo cliquable pour accéder à l’article.

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Pour plus de renseignements, n’hésitez pas à contacter l’équipe du Syndicat : 01 34 25 38 91
ou smbo@valdoise.fr.

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Le Syndicat fait parler de lui, (apparition dans la presse)

Suite aux récents travaux de restauration des berges à Mériel finalisés le 30 juin 2020,
La gazette / L’Echo Régional et la revue Mériel et Vous, ont parlé de nous.

Vous trouverez ci-joint les photos cliquables pour accéder aux revues complètes.

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Entretien des berges et des ENS 2020

Chaque année le Syndicat entretient les berges de l’Oise, les Espaces Naturels Sensibles locaux liés à l’Oise et les cheminements associés.

La surface concernée est de 462 574 m² sur 15 communes riveraines.

L’opération débutée en avril pendant le confinement, devrait se terminer en septembre.

Grâce aux entreprises ayant continué une activité lors du confinement, nous avons pu débuter l’entretien comme prévu. Cela a permis de rendre accessible et de sécuriser les zones les plus fréquentées pour le 11 Mai, date à laquelle il a de nouveau été autorisé d’emprunter les cheminements.

 

Cet entretien annuel des berges se décompose en 7 interventions :

1)      Tonte des cheminements : Comprend la tonte des espaces enherbés dans l’emprise du chemin de halage et de contre halage. La prestation comprend également la taille des branches basses qui viennent entraver le cheminement. Ce passage est effectué entre 3 et 5 fois par an selon les conditions climatiques.
Cette prestation comprend aussi le ramassage des déchets diffus quand ils ne sont pas en grande quantité (sinon, on parle de dépôt sauvage).

2)      Création et maintien d’ouvertures visuelles : Permettant d’améliorer le visuel sur la rivière aux abords des éléments de mobiliers (bancs, tables de pique-nique). C’est un rafraichissement de l’espace, réalisé une fois par an.

3)      Fauchage tardif : Réalisé une fois par an, entre septembre et octobre, sur les cheminements des berges ainsi que sur les Espaces Naturels Sensibles (marais de Bernes).
Des bandes enherbées de 1 mètre, sont laissées en libre développement une partie de l’année. Cela permet aux végétaux d’effectuer la totalité de leur cycle de vie et notamment la floraison, indispensable aux insectes pollinisateurs.
Elles sont situées la plupart du temps en crête de berge, aussi elles n’entravent pas les cheminements.

4)      Fauchage de la Renouée du Japon : C’est une plante exotique envahissante. Sa capacité à coloniser un milieu est très importante rendant difficile l’implantation des autres végétaux. Sa dissémination est favorisée par la rivière qui transporte ses graines. Pour limiter son développement nous la fauchons plusieurs fois par an, ce qui affaiblit son système racinaire. C’est la principale plante exotique envahissante présente sur le territoire. On peut également citer le Buddleia et l’Aster américain (principalement sur les ENS).

5)      Entretien des talus de berge en evergreens : Retrait des végétaux ayant germé dans les dalles béton alvéolées et risquant de les déstabiliser. Nous fauchons ces talus evergreens 2 fois par an,  à 10 cm afin de laisser un couvert herbacé sans lequel la terre présente dans les dalles pourrait être lessivée par une crue de l’Oise.

6)      Entretien des risbermes : Les risbermes sont souvent associées aux talus evergreens et sont principalement utilisées par les pêcheurs. Ce sont des linéaires de plateforme en béton d’1 mètre de large environ, en pied de talus. Leur entretien comprend la taille des arbustes qui s’y développent pour libérer le passage et éviter qu’elles soient déstabilisées par leurs racines. Nous intervenons 2 fois par an, en même temps que les evergreens.
Ces risbermes sont régulièrement inondées lors de crues.

7)      Abattages / élagages : Abattage ponctuel d’arbres dangereux ou potentiellement dangereux sur les chemins permettant demaintenir la continuité piétonne.

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Bonne promenade sur les berges et les ENS de l’Oise.

Pour plus de renseignements, n’hésitez pas à contacter l’équipe du Syndicat : 01 34 25 38 91 ou smbo@valdoise.fr.

 

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Mériel : fin des travaux de restauration des berges.

Après 4 mois de travaux, la restauration écologique des berges de Mériel s’est achevée le 30 juin 2020 en présence des partenaires.

Sur un linéaire de 260 m de berges érodées, les travaux ont permis de sécuriser le cheminement et les habitations riveraines tout en améliorant la valeur écologique et paysagère du site.

Les travaux ont pu se dérouler sans encombre malgré le confinement.

Avis aux promeneurs : Le chemin de halage est désormais accessible.

Des plantes ont été semées dans le talus et protégées par une toile en coco. C’est pourquoi, nous vous prions de ne pas descendre sur la berge. Des végétaux ont aussi été plantés en pied de berge, veillez à ne pas les piétiner.

Cette attention permettra aux plantes de se développer et de fixer la berge par leur système racinaire.

Coût des travaux et financeurs :
Le montant de ce chantier s’élève à environ 180 000 € TTC subventionné à hauteur de 30% par la Région Ile-de-France, 20% par l’Agence de l’eau Seine-Normandie et 20% par le Conseil Départemental du Val-d’Oise.

 

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Le 30 juin 2020 a eu lieu la réception des travaux avec les partenaires :

Le 30 juin 2020 a eu lieu la réception des travaux avec les partenaires :

De gauche à droite : Christophe Tellier (Directeur des services techniques de Mériel), José Da-Cunha (Responsable de l’entreprise en charge des travaux), Jean-Louis Delannoy (Maire de Mériel), Chantal Villalard (Présidente du SMBO), Isabelle Guillaume (Directrice Générale des Services de la CCVO3F), Anaïs Lutzius (Technicienne rivière au SMBO)

Photographe : Bilbo Benke, Service communication de la ville de Mériel.

 

Organisation de la berge à Mériel avant et après les travaux :

État de la berge après la réalisation des travaux de restauration.

État de la berge après la réalisation des travaux de restauration.

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Restauration des berges à Mériel

Les travaux de restauration écologique des berges de l’Oise sur la commune de Mériel seront bientôt achevés.

Ils concernent un linéaire de 260 m de berges érodées par les vagues provoquées par les péniches (phénomène de batillage) mais également par les crues de l’Oise.

L’objectif est de sécuriser le cheminement et les habitations riveraines ainsi que d’accroître la valeur écologique et paysagère du site.
Le montant des travaux s’élève à environ 180 000 euros TTC.

La première phase des travaux, qui consistait à abattre et à élaguer une partie des arbres, s’est achevée au mois de mars, pendant le confinement.

Les entreprises procèdent désormais aux travaux dans le talus et le cours d’eau, à savoir : enrochement, reprofilage des berges en pente douce, création de zones de frai pour les poissons, plantations de végétaux adaptés et réhabilitation du chemin.

Pour des raisons de sécurité, le chemin de halage est interdit en amont du pont de la D151, jusqu’à l’achèvement des travaux prévu pour la fin du mois de juin.

Travaux de restauration écologique des berges de l'Oise sur la commune de Mériel sur 260 m de berges érodées.

Travaux de restauration écologique des berges de l’Oise sur la commune de Mériel sur 260 m de berges érodées.

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CRISE SANITAIRE CORONAVIRUS – INFORMATION

Mesdames, Messieurs les usagers des bords de l’Oise.

En ce début de printemps, malgré le chant des oiseaux, l’éclosion des bourgeons, la renaissance des plantes, des fleurs et la tentation de profiter des premiers beaux jours, nous vous rappelons que les promenades et sorties sur les berges de l’Oise sont interdites par arrêté préfectoral, afin de protéger l’ensemble de la population de notre territoire contre le Coronavirus.
Ainsi : par arrêté préfectoral, n°2020-219 du 15 avril 2020, l’interdiction d’accès du public aux parcs, jardins, équipements sportifs d’accès libre, massifs forestiers et promenades sur les berges de l’Oise et de la Seine, est prolongé jusqu’au 11 mai 2020.

Cet arrêté ne remet pas en cause les déplacements brefs liés à la promenade ou à l’activité sportive individuelle, en d’autres lieux, avec les seules personnes regroupées dans un même domicile, ou ceux liés aux besoins des animaux de compagnie, dans la limite d’une heure quotidienne et dans un rayon maximal d’un kilomètre autour du domicile.

L’ensemble de ces informations est à votre disposition sur le site de la préfecture du Val d’Oise via le lien ci-dessous renseigné.
http://www.val-doise.gouv.fr/Actualites/COVID-19-Mesures-et-declarations-officielles

Pour ce qui concerne notre Syndicat, vous pourrez constater très prochainement que les travaux d’entretien et d’aménagement des berges menés par le SMBO redémarrent en cette fin avril.

Dans l’attente de futures découvertes des berges, prenez bien soin de vous,

Chantal Villalard

Présidente du SMBO, conseillère départementale

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Dispositions relatives au Coronavirus- COVID-19

Suite aux mesures prises par le Gouvernement afin de limiter la propagation de l’épidémie de Coronavirus, les services du Syndicat s’adaptent.

L’activité du syndicat est réduite, pour autant les agents, placés en télétravail, restent à votre disposition, dans la limite du respect des instructions du Gouvernement.

Pour joindre un agent, vous pouvez lui adresser un mail ou l’appeler sur son téléphone portable si vous avez connaissance de son numéro.

Privilégiez l’envoi de mails plutôt que l’expédition de courriers, en utilisant l’adresse générique smbo@valdoise.fr. En effet, la boîte aux lettres postale du syndicat ne sera relevée que ponctuellement.

Les factures sont traitées plus rapidement si elles sont déposées sur le portail Chorus Pro.

Bon courage à tous.

La Présidente

Chantal VILLALARD

Conseillère Départementale

 

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La régulation des crues par l’Entente-Oise-Aisne: explications !!!

 

 

 

 

Les pluies de ces derniers semaines et mois impliquent des sols saturés en eau. Aussi, celles de ces derniers jours font monter inévitablement les niveaux de l’ensemble des cours d’eau du bassin versant de l’Oise.

Les niveaux d’eau observé à l’Isle-Adam sur la rivière Oise (4,30m) sont des niveaux de crue de retour 5 ans environ.

Sur notre territoire, en l’état actuel de la situation, seuls quelques cheminement le long de l’Oise et certains champs sont inondés par débordement ou remontée de la nappe. Les niveaux du cours d’eau vont rester hauts pendant encore quelques jours jusqu’à une décrue progressive si les conditions météorologiques sont favorables. Vous pouvez vous tenir informé de la situation en consultant le site www.vigicrue.fr ou sur le site de l’Entente Oise Aisne https://www.oise-aisne.net/

Les crues sur le bassin versant de l’Oise sont gérées par l’Entente Oise Aisne qui vous explique ci dessous la régulation des crues par les ouvrages qu’elle a construit ces dernières années.

https://www.oise-aisne.net/2020/03/09/pourquoi-l-entente-ne-r%C3%A9gule-pas-les-crues-en-cours/

Pourquoi l’Entente ne régule pas les crues en cours ?

Cet hiver est marqué par des crues à répétition sur le bassin Oise Aisne : déjà une première alerte avait eu lieu en décembre puis nous subissons une série de quatre crues successives entre février et mars. Des questions se posent parmi les riverains, notamment le long de la Serre aval (02), territoire qui pourrait bénéficier d’une régulation de l’ouvrage récemment inauguré de Montigny-sous-Marle.

Plus en aval, quelques riverains sont toujours inondés depuis maintenant un mois à Appilly (60). Pourquoi l’Entente ne régule pas ces crues tandis que les ouvrages sont disponibles ? Ce questionnement légitime appelle une réponse que nous souhaitons détaillée, au-delà d’un communiqué diffusé largement la semaine dernière auprès de la presse régionale.

Les barrages de Proisy et Montigny-sous-Marle permettent de stocker un volume de crue le temps que le pic passe dans les territoires aval sans trop de dommages. Disposant d’une vanne, ils peuvent être activés à tout moment. Le recours à la régulation répond pourtant à trois principes convergents.

 

1 — un principe d’optimum économique

Plus une crue est importante, plus elle est rare, plus elle génère du dommage. Si le barrage régule une petite crue, fréquente, il n’épargne que peu d’enjeux (pourquoi pas ? ça répond à une demande). Il est impossible de connaître a priori le volume de la crue qui descend les vallées et donc nous ne sommes pas en capacité de pouvoir adapter la gestion de l’ouvrage à la crue qui se présente. De plus, une petite crue peut être suivie d’une seconde qui arriverait sur le barrage avant que celui-ci ait vidangé le volume précédemment retenu. C’est pourquoi la consigne est fixe : l’ouvrage régule à partir d’un débit fixé au règlement d’eau (un arrêté préfectoral qui définit la façon dont l’ouvrage est géré) et retient l’excédent du pic de crue tant que la retenue n’est pas pleine. Cette fenêtre d’efficacité a été calée au vu des enjeux dans les vallées plus en aval et de la rareté des crues qui les inondent. Les deux barrages régulent des crues environ décennales (que nous observons une fois tous les 10 ans en moyenne) et saturent pour des crues d’une période de retour d’environ 30 ans (Montigny-sous-Marle) à 50 ans (Proisy). Pour des crues de moindre ampleur, les ouvrages laissent passer pour préserver leur capacité en cas de crue supérieure à venir. Il serait malheureux d’avoir tenté de réguler une petite crue qui ne crée que peu de dommages pour saturer très rapidement en cas de survenance rapide d’une forte crue tandis que l’ouvrage est plein, avec pour conséquence des dommages tels que ceux vécus en décembre 1993 et que les plus anciens ont encore en mémoire. C’est le principe du « fusil à un coup » : il n’y a qu’une cartouche, il faut avoir quand la tirer. La succession de crues, comme c’est le cas depuis début février, nous légitime dans l’application des principes fixés au règlement d’eau (pour laquelle des quatre crues aurions-nous rempli les barrages ?)

Parmi les crues de cet hiver, la plus forte fut la seconde du mois de février, avec une période de retour, au droit des ouvrages, d’environ 2 ans sur Proisy et 3 ans sur Marle. Pour se préserver de ces crues fréquentes, les barrages ne sont pas adaptés, il convent de s’orienter vers d’autres outils.

 

2 — un principe de solidarité face au risque

Suite à des dommages d’inondation, les communes font remonter les demandes de reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle. Un comité interministériel statue sur ces demandes en appréciant le caractère au moins décennal de l’événement. Autrement dit, la mobilisation de la couverture assurantielle dite « CATNAT » ne s’envisage que pour des événements que l’on n’observe en moyenne qu’une fois tous les dix ans. Si le phénomène est plus fréquent, la solidarité ne joue pas. Or les barrages ont été cofinancés en partie par un soutien du fonds « Barnier » (taux de 40%), constitué d’un prélèvement sur le fonds CATNAT. Il est cohérent d’appliquer le même principe de rareté pour l’activation des ouvrages de prévention que pour les indemnisations après sinistre.

 

3 — un principe d’équité agricole

L’eau des pics de crue retenue dans les barrages, aggrave les conséquences des inondations sur de nombreuses parcelles agricoles. De tels terrains sont naturellement inondables mais rajouter jusqu’à 5m d’eau et prolonger de plusieurs jours cette stagnation, aggrave les dépôts de limons, sature durablement les sols et, en cas de culture en place, en condamne toute reprise. L’impact sur l’agriculture est indéniable, la régulation étant parfois présentée comme un « transfert de risque » (pour préserver des zones urbanisées, on aggrave les conséquences sur des terres agricoles). Ce principe, qui n’est d’ailleurs permis au Code rural que par exception en vue de lutter contre les inondations, suppose la mise en place de servitudes agricoles et de leur indemnisation. Au-delà de la légitime compensation financière, les agriculteurs ne demandent qu’à … cultiver. Sacrifier leur travail ne peut se faire qu’à titre exceptionnel. Un sacrifice une année sur dix en moyenne est jugé acceptable par la profession, une fréquence plus élevée posant question sur le maintien de l’activité dans la zone de retenue.

L’Entente, consciente que sa politique de régulation des crues repose sur l’acceptabilité agricole, a posé ce principe négocié très en amont de ses premières réalisations, dès 2003. Et les deux barrages de l’Entente n’ont pu être réalisés qu’au vu d’accords avec la chambre d’agriculture assis sur le respect de ce principe. Envisager de réguler des crues plus fréquentes — et donc plus souvent — briserait le pacte de confiance et remettrait en cause toute la logique de régulation à l’échelle du grand bassin de l’Oise.

 

Si les crues au droit des barrages ne sont pas exceptionnelles, il se peut que plus en aval, les pics stagnent sur les secteurs de vallée de très faible pente (secteur de la Serre en aval de Crécy-sur-Serre et de l’Oise moyenne entre La Fère et Noyon) de sorte que des crues successives et rapprochées ont pour conséquence une accumulation de masses d’eau quasi-stagnantes. Les niveaux peuvent alors atteindre des cotes sensibles comme à Pont-à-Bussy (02, Serre aval) où la cote observée ce dimanche se situe 18 cm sous la crue record de décembre 1993. Ce niveau s’observe tous les 5 à 10 ans.

Lorsque des enjeux sont sinistrés lors d’événements plus fréquents, la réponse passe par d’autres outils que les barrages de régulation, qui peuvent être des mesures individuelles sur le bâti, des protections de certains secteurs, etc. C’est toute la démarche de prévention globale qui doit statuer sur un ensemble cohérent et complémentaires d’outils, dont de nombreux restent à identifier et réaliser, et qui font l’objet de réflexions partagées au sein des commissions hydrographiques de l’Entente. L’Entente ne réalise pas que des barrages, c’est même la complémentarité des actions examinées à l’échelle du bassin versant qui légitime son existence.

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Réalisation de la 13 ème campagne d’entretien des boisements de berge

Comme chaque année, le SMBO interviendra sur la période hivernale sur les boisements des berges de l’Oise (ripisylve).

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Cette année, la campagne 13 d’entretien traitera un linéaire de 5 945 mètres dont :

  • 1 610 mètres sur la commune de Parmain,
  • 3 295 mètres sur la commune de Pontoise
  • 1 040 mètres sur la commune de Maurecourt.

Pour rappel l’année dernière le SMBO a entretenu les boisements sur les berges de Bernes sur Oise, Persan, Champagne sur Oise et Mours.

L’intervention débutera à compter du 12 Décembre jusqu’au 28 Février par l’entreprise Belbeoc’h spécialisée sur les interventions par voie fluviale.

L’objectif de cet entretien est principalement la sécurité et le maintien de berge mais aussi la mise en valeur paysagère (remontée de couronnes, mise en valeur des plus beaux sujets, ouvertures visuelles sur la rivière). L’intervention aura également un objectif écologique avec la diversification des strates végétales par le développement d’un couvert herbacé et arbustif par la suite très favorable à la faune se servant des berges comme corridor écologique.

Pour toute information, vous pouvez contacter les services du Syndicat.

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Inauguration des travaux de restauration du mur du Cabouillet et de l’ile de la Cohue à l’Isle-Adam

Samedi 13 avril, les travaux du Syndicat ont été inaugurés en présences de l’ensemble des élus des communes et intercommunalités riveraines de l’Oise et partenaires financiers : Madame Stéphanie VON EUW (Vice-Présidente de la Région Ile-de-France), Madame Christine CAVECCHI (Présidente du Conseil Départemental du Val d’Oise), Monsieur Sébastien PONIATOWSKI (Maire de L’Isle-Adam).

La cérémonie s’est tenue sur l’Ile de la Cohue.

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Article du Parisien sur l’évènement

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